
On a bcp parlé de l’écologie ces dernières semaines, en cherchant comme d'hab sur la web, j'ai trouvé sur le site de greenpeace un test a faire on-line. visitez les et vous verrez.
Bises
Je vous invite mes chers élèves a vous mettre à jour sur les sujets des cours. A rattraper: du matériel perdu, ainsi qu’a partager nos lectures, nos activités et nos expériences.
Alain Souchon (Alain Kienast) est un chanteur et un acteur né le 27 mai 1944 à Casablanca, au Maroc. Après une enfance et adolescence tumultueuses, il se lance dans la chanson. Il chante dans des pianos-bars et donne des petits concerts à Paris. Il enregistre quelques chansons mais il ne recueille pas le succès tant attendu. En 1973, il gagne le concours de la Rose d'or d'Antibes en chantant « L'amour 1830 ».
L'année d'après, il fait la rencontre de Laurent Voulzy, qui collabore avec lui sur son premier album intitulé « J'ai dix ans ». Dès lors, il se fait connaître du public et récolte un franc succès. Les albums suivants séduisent toujours autant ses fans. Il a travaillé avec beaucoup d'autres artistes comme Louis Chédid, Véronique Sanson, Léo Ferré, Bob Dylan ou encore Michel Jonasz. Il a aussi tourné dans plusieurs films : « Tout feu tout flamme », « Je vous aime », « L'été meurtrier »
Cette semaine en clase nous avons travaillé le vocabulaire de l’écologie avec une chanson d’Alain Souchon, malheureusement je n’ai pas trouvé de ficher audio pour sa chanson « le monde change de peau », donc on l’a employé comme poème. Nous avons ajouté des strophes en classe, et nous avons profité pour en parler un peu de ce monde qui souffre et qui de temps en tems nous fait souffrir.
Je vous offre les mots de monsieur Thierry Frémaux qui fait la présentation du 63ème festival de Cannes débutée hier sur cette magnifique ville de la Côte d'Azur. Ces mots on été tires directement du site du festival a ne pas rater, photos, courts, et plus d'info
"Comme chaque année, le calendrier du Festival s’est ouvert en janvier avec l’annonce du Président du Jury. Tim Burton ! La nouvelle, unanimement accueillie avec enthousiasme, a mis la planète cinéma de bonne humeur. Choisir Tim Burton pour présider la prochaine édition du Festival, c’est en effet la placer sous l’enseigne joyeuse de la fantaisie et de l’imagination, ce qui devrait bien s’accorder avec les dix jours d’une manifestation où –on le sait- tout peut arriver.
En demandant à ce cinéaste visionnaire de nous accompagner en 2010, Gilles Jacob et moi-même souhaitions aussi réaffirmer symboliquement notre volonté de continuer d’encourager l’avenir. L'avenir du Festival, en étant sans cesse à l’affut de ce qui s’invente et, sans céder au vertige des images et des nouvelles technologies, en sachant discerner les innovations qui serviront son identité pour le faire évoluer harmonieusement entre création et industrie.
L’avenir du cinéma aussi et surtout. La production se porte bien, chaque année le nombre de films qui nous arrive augmente. Au cœur de cette croissance, de cette diversité, il nous faut être attentif à préserver notre sensibilité pour ce qui naît, ce qui bouge, ce qui promet, partout dans le monde.
Tim Burton, à mi chemin entre le cinéma d’auteur, le cinéma populaire et le cinéma de genre, a su trouver sa place sur la carte cinématographique. Ce sont tous ces aspects qui, nous l’espérons, composeront le relief de la Sélection 2010 afin que les artistes, les professionnels, les journalistes et les cinéphiles qui font le Festival gardent intacts leur envie de découverte et leur désir pour, comme l’a si joliment dit notre Président du jury, les « films qui frappent à la porte de nos rêves ».
J'avais fait apprendre par cœur a mes élevés la petite comptine...mais qui se souvient encore???
La comptine du muguet